Quel est l’actif le plus important des avocats ?
Sophie Ginoux
2023-05-19 13:15:00
Tout cela est juste, mais au quotidien, pour être en mesure de jouir de la vie comme on le souhaite, et donc pour payer ses dettes, s’acheter la maison ou la voiture de ses rêves, payer ses factures, subvenir aux besoins de ses proches, sortir, voyager et se constituer un patrimoine, il faut avant tout… générer un revenu.
« Les gens ne réalisent pas automatiquement que tout part de là, indique Jean-Gaston Baudart, vice-président Québec de la Financière des avocates et des avocats. Logement, alimentation, commodités, transports, soins de santé, loisirs, éducation, épargne… Tous les pans de notre vie dépendent de notre capacité à générer un revenu. C’est notre actif financier le plus précieux. »
Alors, que se passe-t-il si notre belle bécane bien huilée s’enraye soudainement et que nous devons faire face à une perte de ce revenu ?
L’imprévisible, ça arrive à tout le monde
Rien ne nous prémunit contre les coups du destin. Une maladie, un accident, un drame n’arrivent pas qu’aux autres. Ils touchent également des personnes de tous les sexes, de tous les âges et de toutes les conditions.
Voici quelques statistiques éclairantes. Un-tiers d’entre nous (33,3%) risquons de souffrir d’une maladie grave ou dégénérative (cancer, AVC, paralysie, surdité ou cécité, sclérose en plaques, etc.). 59,4% des professionnels du droit avouent également connaître des problèmes de santé mentale (épuisement, dépression, névroses, etc.). Et qu’en est-il de celles et ceux qui ressortent blessés d’un accident ?
Des situations que tout le monde souhaite éviter arrivent. Et elles nous conduisent à faire face à des périodes d’invalidité au cours desquelles nous ne pouvons plus générer de revenu.
« En fait, 1 Canadien sur 3 deviendra invalide et incapable de travailler avant l'âge de 65 ans, confirme M. Baudart. Et 42% des Canadiens, même nantis, sont incapables de vivre plus de six mois sur leurs économies… alors qu’une période d’invalidité dure souvent plus de trois mois. Nos membres peuvent être arrêtés de 2 à 3 ans. »
Assurer les coups durs
Quand on cesse de travailler et qu’on ne génère plus de revenu, le remplacement de ce dernier devient une priorité, même si on devrait plutôt se concentrer sur son rétablissement.
Voilà pourquoi l’assurance invalidité de la Financière des avocates et des avocats, offerte à tous les avocats, juges, notaires et étudiants en droit du Québec est aussi précieuse.
« C'est un remplacement du revenu que vous ne pouvez plus gagner, explique Jean-Gaston Baudart. L’assurance invalidité assure votre chèque de paie, vos paiements, vos liquidités. Elle préserve aussi votre patrimoine. Elle constitue une manière de vous protéger efficacement et devrait à mon sens faire partie de tout plan financier. »
En raison de son étroite connexion avec le milieu du droit au Québec, la Financière des avocates et des avocats a également doté son assurance invalidité d’options spécifiques, comme celle de recevoir des prestations jusqu’à l’âge de 71 ans, puisque les professionnels du droit travaillent souvent au-delà de 65 ans. Elle est aussi pourvue d’admissibilités pour les personnes qui pourraient encore travailler à temps partiel, mais dont le revenu initial a été fortement amputé.
Il faut également mentionner la générosité de ce programme, qui assure des prestations allant jusqu’à 4000 dollars par mois en cas d’invalidité de courte durée, et jusqu’à 16 000 dollars par mois pour des invalidités plus longues. De quoi s’assurer une tranquillité d’esprit et se concentrer sur ce qui compte vraiment, au final : sa qualité de vie. Pensez-y !