Un divorce à cause de toilettes, Peta dans le champ et un détenu plutôt gonflé

Son mari n’installe pas de toilettes chez eux, elle demande le divorce

Alors que 70% des foyers indiens ne sont pas équipés de toilettes, une femme a demandé le divorce au motif que son mari n’avait pas installé de toilettes intérieures.

Elle estimait en effet que cela relevait de la cruauté, a rapporté l’AFP.

Le tribunal familial de l'État du Rajasthan (nord de l'Inde) a statué en sa faveur. Le juge Rajendra Kumar Sharma a qualifié l'absence de sanitaires de honteuse et a apparenté à de la torture le fait de refuser un environnement sûr aux femmes. Le divorce en Inde est autorisé uniquement si des preuves de cruauté, violence, ou de demandes financières injustifiées sont présentées à la Cour.

L’association Peta tue un chien par erreur

En octobre 2014, une camionnette de l’association de défense des animaux a emmené un chihuahua devant un parc de maisons mobiles de Virginie, aux États-Unis. Quelques heures plus tard, la chienne, dénommée Maya, était euthanasiée. Pourtant, les lois de l’état de Virginie stipulent que les refuges doivent attendre un minimum de cinq jours avant de piquer un animal recueilli.

Problème: le chien n’était pas abandonné et appartenait à une petite fille de 9 ans. Son père a ainsi décidé de poursuivre Peta en justice, explique le site internet Slate.

L’organisme s’est défendue en expliquant avoir été contactée par le gardien du parc de maisons mobiles qui voulait se débarrasser de chiens errants dans ses alentours.

Alors que le procès de l’association devait commencer en septembre 2017, Peta a proposé 49 000 $ de dédommagement à la famille, que cette dernière a annoncé avoir accepté le 16 août.

Un pédophile blâme le juge pour ses méfaits

Condamné pour avoir leurré des adolescentes, David Thomas Pearson a blâmé le juge, dit le Winnipeg free press.

L’homme se faisait passer pour un ado de 16 ans sur internet afin d’obtenir des photos nues d’adolescentes. Il a plaidé coupable en janvier 2015, mais est demeuré en liberté jusqu’en 2016 en attendant de recevoir sa peine.

Durant ce laps de temps, il a continué ses activités de prédation. « Je ne serais probablement pas ici aujourd’hui si j’avais été emprisonné et que j’avais eu l’occasion de réfléchir à ce que j’ai fait », a soutenu l’homme au moment de recevoir une nouvelle peine de prison pour les crimes commis lors de sa période de liberté.