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Bronfman condamné à 15 mois de prison
Agence Qmi
2011-01-21 10:15:00
L'un des accusés dans l'affaire Vivendi Universal en France, le Québécois Edgar Bronfman Jr. a été condamné à une peine de 15 mois avec sursis et à une amende de 5 millions d'euros (environ 6,7 millions $), vendredi.
La sentence a été rendue par le tribunal correctionnel de Paris, qui a aussi condamné l'ex-pdg du groupe de médias, Jean-Marie Messier, à une peine de trois ans avec sursis et à une amende de 150 000 euros (200 000 $).
M. Bronfman, qui occupe le poste de directeur général de Warner Music, a été reconnu coupable de délits d'initiés.
Jean-Marie Messier était poursuivi pour des délits présumés au moment des déboires de son ancienne société Vivendi Universal en 2002.
M. Bronfman a été reconnu coupable de « diffusion de fausse information aux marchés et abus de biens sociaux ».
Il est acquitté en revanche de l'accusation de manipulation de cours.
Parmi les autres accusés, Guillaume Hannezo, ancien bras droit de Jean-Marie Messier, a été condamné à une peine de 15 mois avec sursis. Un autre ancien dirigeant de Vivendi, Eric Licoys, a été condamné à une peine de six mois avec sursis.
Partie civile, la société Vivendi ne demandait pas de réparation à ses ex-dirigeants.
En janvier dernier aux États-Unis, un jury a retenu la responsabilité de Jean-Marie Messier pour des faits d'information fausse, à la suite d'une procédure en recours collectif.
La procédure judiciaire américaine se poursuit.
M. Bronfman, qui occupe le poste de directeur général de Warner Music, a été reconnu coupable de délits d'initiés.
Jean-Marie Messier était poursuivi pour des délits présumés au moment des déboires de son ancienne société Vivendi Universal en 2002.
M. Bronfman a été reconnu coupable de « diffusion de fausse information aux marchés et abus de biens sociaux ».
Il est acquitté en revanche de l'accusation de manipulation de cours.
Parmi les autres accusés, Guillaume Hannezo, ancien bras droit de Jean-Marie Messier, a été condamné à une peine de 15 mois avec sursis. Un autre ancien dirigeant de Vivendi, Eric Licoys, a été condamné à une peine de six mois avec sursis.
Partie civile, la société Vivendi ne demandait pas de réparation à ses ex-dirigeants.
En janvier dernier aux États-Unis, un jury a retenu la responsabilité de Jean-Marie Messier pour des faits d'information fausse, à la suite d'une procédure en recours collectif.
La procédure judiciaire américaine se poursuit.
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