Stagiaires: BCF réplique
Natacha Mignon
2010-07-20 13:15:00
Elle confirme que Maude Bégin-Robitaille, stagiaire à Québec, quitte bien BCF de son propre chef afin de poursuivre des études de second cycle et ce alors que le cabinet lui avait fait une offre.
Autre départ volontaire selon Me Doré, celui d’Arnaud Tellier-Marcil.
« Nous lui avons fait récemment une offre. Il l’a décliné pour poursuivre des études de second cycle. »
Reste le cas d’Annie St-Cyr et Amir Tajkarimy.
« S’ils n’ont pas eu d’offres, ce n’est pas pour des motifs financiers et ce n’est en rien lié au départ de sept de nos avocats en février dernier, mais uniquement car ces deux personnes ne remplissaient pas les critères. BCF va très bien. »
Me Julie Doré rappelle l’embauche en février 2010 de Pascale Villani, notaire et ancienne stagiaire, et l’arrivée à Montréal il y a trois semaines de Geneviève Martin, stagiaire.
Qu’est-ce que le sort lui réserve ? L’avenir le dira.
ohhh
il y a 15 ansTant mieux pour Me Tajkarimy et Me St-Cyr ... ils seront grandement plus heureux ailleurs ! Quel manque de Tac de la part de Me Doré ! BCF n'a pas de quoi être fier !
Lawyer
il y a 15 ansAll that makes me wonder what my firm would have anwsered to the same question when I was not retain after my internship. Can droit Inc ask the same question to all law firms for the years 2005 and after ?
!!!
il y a 15 ansTELLEMENT ORDINAIRE !!!
Quand un bureau à besoin de dénigrer ses stagiaires pour remonter sa réputation c'est très pathétique !!
Anonyme
il y a 15 ans>
> Donc BCF irait mal si BCF respecterait ses promesses et engagerait tel que promis. BCF "va très bien", à l'indicatif présent, suite aux mises à pieds. Au moins ça a le mérite d'être clair.
Ouin... pour quelqu'un qui reprend toujours les gens sur leur grammaire... ouch
Cynik
il y a 15 ansMais en quoi cela vous étonne-t-il tous qu'un grand cabinet ( BCF en l'occurence, mais sans que ça ne se limite qu'à ce dernier ) largue ses stagiaires sans ménagement ?
Par définition, un stagiaire, c'est juste une version encore plus "cheap labour" qu'un avocat junior: sa VOCATION est de se faire brûler à la tâche jusqu'à la dépression nerveuse à peu de frais et de retenir un faible pourcentage de ceux qui auront survécu pour les enchaîner à leurs bureaux!
Compte tenu de ces circonstances, comment peut-on encore être surpris du fait que le cabinet soit ainsi prêt non seulement à larguer ses stagiaires comme bon lui semble, mais aussi à carrément s'essuyer les pieds sur leur visage en pleine place publique et détruire leur possibilité d'emplois ( et potentiellement leur carrière ) pour préserver leur réputation du –terrible- accroc que représente un commentaire sur droit-inc ? Ce n’est pas comme si les stagiaires étaient des êtres humains dignes de respect non plus : ce sont des outils sans âme et parfaitement remplaçables comme n’importe quel autre pion.
S’il faut choisir entre ce qui est –réellement- important ( soit ici, le fait de trouver des prétexte pour « décharger le cabinet » de la décision d’avoir lâché ses stagiaires – et ce sans égard au fait que ledit cabinet ait –effectivement- lâché ses stagiaires, et sans que cela n’entraîne la moindre perte financière quelconque; par principe, quoi! ) et ce qui est totalement trivial ( la vie future et la carrière, les rêves et les espoirs d’un jeune stagiaire ), la décision est rapide à faire.
C’est presque prétentieux de la part de ces stagiaires d’avoir osé penser avoir le droit d’être traité différemment d’un perce-oreille dans l’esprit d’un grand bureau : même après l’avoir mis dehors, on n’hésite pas à écraser si nécessaire, même si on pouvait s’en passer, simplement parce que « ça fait plus propre comme ça ».
Tels lesdits perce-oreilles, la faute revient aux stagiaires : ils n’avaient tout simplement pas à exister! Et en plus, après leur avoir fait l’indicible honneur de leur permettre de respirer le même air que celui des associés, ces insectes, dûment renvoyés dans l’ombre après le stage, commettent l’infamie –même involontairement ( pas grave : responsabilité absolue et irréfragable )- d’attirer l’attention sur leur sort! Un tel manquement à l’étiquette est impardonnable! Les stagiaires mentionnés dans la série d’article précédents auraient dû se pourvoir en cour pour demander une l’interdiction de la publication : en ne le faisant pas, ils ont commis une grossière négligence à l’endroit de leur cabinet et par conséquence, ils sont les artisans de leur propre malheur.
Grande leçon de vie : un avocat n’est pas un être humain, il n’a pas le droit d’exister en dehors du cabinet – sans personnalité juridique, quels droits viole-t-on ? Dans une telle circonstance, un grand cabinet n’a pas le choix : ils doivent préserver leur réputation coûte que coûte du terrible ombrage que d’avoir à se justifier dans leur propres choix et montrer l’exemple! Après tout, la tradition est millénaire – quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.
Pour conclure, je dirais un gros bravo à tout ces associés et à toutes ces structures qui n’hésitent pas à agir là où il le faut et de la manière dont il le faut : quoi de mieux que de détruire la réputation d’un impertinent ex-stagiaire en discréditant publiquement sa compétence ? Au moins comme ça, « c’est le stagiaire le problème pas moi »!
C’est ça, s'assumer et être responsable de ses actes!
-Cyniquement vôtre
Anonyme
il y a 15 ans> Mais en quoi cela vous étonne-t-il tous qu'un grand cabinet ( BCF en l'occurence, mais sans que ça ne se limite qu'à ce dernier ) largue ses stagiaires sans ménagement ?
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> Par définition, un stagiaire, c'est juste une version encore plus "cheap labour" qu'un avocat junior: sa VOCATION est de se faire brûler à la tâche jusqu'à la dépression nerveuse à peu de frais et de retenir un faible pourcentage de ceux qui auront survécu pour les enchaîner à leurs bureaux!
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> Compte tenu de ces circonstances, comment peut-on encore être surpris du fait que le cabinet soit ainsi prêt non seulement à larguer ses stagiaires comme bon lui semble, mais aussi à carrément s'essuyer les pieds sur leur visage en pleine place publique et détruire leur possibilité d'emplois ( et potentiellement leur carrière ) pour préserver leur réputation du –terrible- accroc que représente un commentaire sur droit-inc ? Ce n’est pas comme si les stagiaires étaient des êtres humains dignes de respect non plus : ce sont des outils sans âme et parfaitement remplaçables comme n’importe quel autre pion.
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> S’il faut choisir entre ce qui est –réellement- important ( soit ici, le fait de trouver des prétexte pour « décharger le cabinet » de la décision d’avoir lâché ses stagiaires – et ce sans égard au fait que ledit cabinet ait –effectivement- lâché ses stagiaires, et sans que cela n’entraîne la moindre perte financière quelconque; par principe, quoi! ) et ce qui est totalement trivial ( la vie future et la carrière, les rêves et les espoirs d’un jeune stagiaire ), la décision est rapide à faire.
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> C’est presque prétentieux de la part de ces stagiaires d’avoir osé penser avoir le droit d’être traité différemment d’un perce-oreille dans l’esprit d’un grand bureau : même après l’avoir mis dehors, on n’hésite pas à écraser si nécessaire, même si on pouvait s’en passer, simplement parce que « ça fait plus propre comme ça ».
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> Tels lesdits perce-oreilles, la faute revient aux stagiaires : ils n’avaient tout simplement pas à exister! Et en plus, après leur avoir fait l’indicible honneur de leur permettre de respirer le même air que celui des associés, ces insectes, dûment renvoyés dans l’ombre après le stage, commettent l’infamie –même involontairement ( pas grave : responsabilité absolue et irréfragable )- d’attirer l’attention sur leur sort! Un tel manquement à l’étiquette est impardonnable! Les stagiaires mentionnés dans la série d’article précédents auraient dû se pourvoir en cour pour demander une l’interdiction de la publication : en ne le faisant pas, ils ont commis une grossière négligence à l’endroit de leur cabinet et par conséquence, ils sont les artisans de leur propre malheur.
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> Grande leçon de vie : un avocat n’est pas un être humain, il n’a pas le droit d’exister en dehors du cabinet – sans personnalité juridique, quels droits viole-t-on ? Dans une telle circonstance, un grand cabinet n’a pas le choix : ils doivent préserver leur réputation coûte que coûte du terrible ombrage que d’avoir à se justifier dans leur propres choix et montrer l’exemple! Après tout, la tradition est millénaire – quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.
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> Pour conclure, je dirais un gros bravo à tout ces associés et à toutes ces structures qui n’hésitent pas à agir là où il le faut et de la manière dont il le faut : quoi de mieux que de détruire la réputation d’un impertinent ex-stagiaire en discréditant publiquement sa compétence ? Au moins comme ça, « c’est le stagiaire le problème pas moi »!
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> C’est ça, s'assumer et être responsable de ses actes!
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> -Cyniquement vôtre
Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
Anonyme
il y a 15 ans> Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
hahaha vous ne lisez pas souvent tout court à ce que je constate...
Anonyme
il y a 15 ans> > Mais en quoi cela vous étonne-t-il tous qu'un grand cabinet ( BCF en l'occurence, mais sans que ça ne se limite qu'à ce dernier ) largue ses stagiaires sans ménagement ?
> >
> > Par définition, un stagiaire, c'est juste une version encore plus "cheap labour" qu'un avocat junior: sa VOCATION est de se faire brûler à la tâche jusqu'à la dépression nerveuse à peu de frais et de retenir un faible pourcentage de ceux qui auront survécu pour les enchaîner à leurs bureaux!
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> > Compte tenu de ces circonstances, comment peut-on encore être surpris du fait que le cabinet soit ainsi prêt non seulement à larguer ses stagiaires comme bon lui semble, mais aussi à carrément s'essuyer les pieds sur leur visage en pleine place publique et détruire leur possibilité d'emplois ( et potentiellement leur carrière ) pour préserver leur réputation du –terrible- accroc que représente un commentaire sur droit-inc ? Ce n’est pas comme si les stagiaires étaient des êtres humains dignes de respect non plus : ce sont des outils sans âme et parfaitement remplaçables comme n’importe quel autre pion.
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> > S’il faut choisir entre ce qui est –réellement- important ( soit ici, le fait de trouver des prétexte pour « décharger le cabinet » de la décision d’avoir lâché ses stagiaires – et ce sans égard au fait que ledit cabinet ait –effectivement- lâché ses stagiaires, et sans que cela n’entraîne la moindre perte financière quelconque; par principe, quoi! ) et ce qui est totalement trivial ( la vie future et la carrière, les rêves et les espoirs d’un jeune stagiaire ), la décision est rapide à faire.
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> > C’est presque prétentieux de la part de ces stagiaires d’avoir osé penser avoir le droit d’être traité différemment d’un perce-oreille dans l’esprit d’un grand bureau : même après l’avoir mis dehors, on n’hésite pas à écraser si nécessaire, même si on pouvait s’en passer, simplement parce que « ça fait plus propre comme ça ».
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> > Tels lesdits perce-oreilles, la faute revient aux stagiaires : ils n’avaient tout simplement pas à exister! Et en plus, après leur avoir fait l’indicible honneur de leur permettre de respirer le même air que celui des associés, ces insectes, dûment renvoyés dans l’ombre après le stage, commettent l’infamie –même involontairement ( pas grave : responsabilité absolue et irréfragable )- d’attirer l’attention sur leur sort! Un tel manquement à l’étiquette est impardonnable! Les stagiaires mentionnés dans la série d’article précédents auraient dû se pourvoir en cour pour demander une l’interdiction de la publication : en ne le faisant pas, ils ont commis une grossière négligence à l’endroit de leur cabinet et par conséquence, ils sont les artisans de leur propre malheur.
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> > Grande leçon de vie : un avocat n’est pas un être humain, il n’a pas le droit d’exister en dehors du cabinet – sans personnalité juridique, quels droits viole-t-on ? Dans une telle circonstance, un grand cabinet n’a pas le choix : ils doivent préserver leur réputation coûte que coûte du terrible ombrage que d’avoir à se justifier dans leur propres choix et montrer l’exemple! Après tout, la tradition est millénaire – quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage.
> >
> > Pour conclure, je dirais un gros bravo à tout ces associés et à toutes ces structures qui n’hésitent pas à agir là où il le faut et de la manière dont il le faut : quoi de mieux que de détruire la réputation d’un impertinent ex-stagiaire en discréditant publiquement sa compétence ? Au moins comme ça, « c’est le stagiaire le problème pas moi »!
> >
> > C’est ça, s'assumer et être responsable de ses actes!
> >
> > -Cyniquement vôtre
>
> Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
Cynik, fais-toi un blogue sur droit inc à la place d'écrire ce genre de commentaire. Ceux qui voudront vous lire le feront. Vos commentaires ne sont pas très intéressants.
Anonyme
il y a 15 ans>
> Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
Étant donné la piètre qualité de votre français écrit, pas surprenant que la lecture d'un long commentaire vous rebute.
MeD
il y a 15 ansEh bien, moi je trouve le commentaire pertinent, contrairement au vôtre.
> Cynik, fais-toi un blogue sur droit inc à la place d'écrire ce genre de commentaire. Ceux qui voudront vous lire le feront. Vos commentaires ne sont pas très intéressants.
Anonyme
il y a 15 ansBravo Cynik, vous avez deux noms: Cynik et MeD. Génial!!
> Eh bien, moi je trouve le commentaire pertinent, contrairement au vôtre.
>
> > Cynik, fais-toi un blogue sur droit inc à la place d'écrire ce genre de commentaire. Ceux qui voudront vous lire le feront. Vos commentaires ne sont pas très intéressants.
Zumo de naranja
il y a 15 ans> Bravo Cynik, vous avez deux noms: Cynik et MeD. Génial!!
>
Excellent je me disais la même chose. On peut ajouter 1 ou 2 anonymes au passage. L'écriture et son légendaire ahahah y sont présents.
Anonyme
il y a 15 ans>
> >
> > Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
>
> Étant donné la piètre qualité de votre français écrit, pas surprenant que la lecture d'un long commentaire vous rebute.
clap clap clap. Vous voulez un os?
V.p. académique
il y a 15 ans> et Toi Cynik c'est certain que tu es un de ces juristes qui ne touche pas 6 chiffres pour avoir parce que tu as le TEMPS d'écrire des commentaires aussi long. Avez-vous déjà entendu l'expression 'short and sweet'?
> >
> > Ce commentaire est trops long, donc je ne l'est pas lue.
>
> Étant donné la piètre qualité de votre français écrit, pas surprenant que la lecture d'un long commentaire vous rebute.
Anonyme
il y a 15 ansEt bien moi je l'ai lu ce long commentaire et pour la premiere fois je dois dire que je suis d'accord avec le second degre de Cynik.
Les stagiaires, c'est jettable.
Etant moi-meme jete d'un grand bureau et en ayant jette par la suite, je sais de quoi je parle !!!
The Dude
il y a 15 ansNatacha, j'espère que c'est exactement ce que Me Doré vous a dit sinon vous risquez d'avoir quelques appels!!!
Oh la la!!
Anonyme
il y a 15 ansQu'en dis-tu Amélia? Me Annie St-Cyr et Me Amir Tajkarimy en hausse, Me Julie Doré en baisse.
Anonyme
il y a 15 ansJ'ai hâte de voir Me Doré et ses collègues pédaler dans la vase en mars prochain....
«On embauche, mais on retient pas tout le monde. Ha, en passant, on vous crache dessus après votre départ si quelqu'un remet en question l'état financier de notre bureau. On attend votre CV avec impatience. On est une grande famille chez BCF.»
À voir en mars 2011, le Doré Recruitment Show...une comédie pathétique.
V.p. académique
il y a 15 ans> J'ai hâte de voir Me Doré et ses collègues pédaler dans la vase en mars prochain....
>
> «On embauche, mais on retient pas tout le monde. Ha, en passant, on vous crache dessus après votre départ si quelqu'un remet en question l'état financier de notre bureau. On attend votre CV avec impatience. On est une grande famille chez BCF.»
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> À voir en mars 2011, le Doré Recruitment Show...une comédie pathétique.
En tant que v.p. aux affaires académiques, j'informerai mes collègues. Je vais les inviter à lire l'article et les commentaires de Me Doré. En mars, ils prendront une décision éclairée avant de soumettre leur candidature.
Anonyme
il y a 15 ansI just find it kind of ironic that in trying to protect the image of her firm, Me Doré accomplished the exact opposite.... if she is the one in charge of recruiting the futur of BCF, then i'm afraid it will be a dark future over there......