Des avocats sur leur X
Trois parcours, trois profils, mais surtout trois as du droit des affaires et du litige commercial épanouis au sein d’un cabinet qu’ils ont sciemment choisi. Découvrons pourquoi!
Excellence, longévité, innovation et croissance continue. Peu de cabinets québécois peuvent afficher la feuille de route que possède Dunton Rainville, qui emploie plus de 135 avocats et notaires à travers le Québec. On peut toutefois se demander si les talents des nouvelles générations trouvent leur place dans une institution juridique active depuis plus de 70 ans. Nous avons donc rencontré trois d’entre eux pour le savoir.
De stagiaire à associée
D’origine française, Me Jennifer Tschamper est arrivée au Québec il y a 13 ans, avec dans ses bagages une maîtrise en droit des affaires. Elle voulait à la base obtenir un diplôme supplémentaire, puis revenir dans l’Hexagone. Elle a donc décroché un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal, mais le Québec… et un certain cabinet, au sein duquel elle faisait son stage, l’ont séduite.
« Je suis un vrai bébé Dunton Rainville, avoue-t-elle. Une fois que j’y suis entrée, je n’en suis jamais repartie. Ça fait presque neuf ans de cela! »
L’avocate associée depuis le mois de janvier se souvient de l’accueil formidable qu’elle y a reçue. « J’ai immédiatement ressenti la bienveillance et l’ouverture dont tous les professionnels du bureau faisaient preuve, dit-elle. On m’a rapidement donné des responsabilités et de l’autonomie – je suis allée en cour dès mon deuxième mois de pratique !, mais j’ai disposé de tout l’encadrement nécessaire. C’était génial. »
Aujourd’hui, sur le plan personnel, Me Tschamper est mariée et a deux jeunes enfants. Et sur le plan professionnel, elle œuvre principalement dans le domaine du litige civil et commercial, ainsi que du droit des affaires, de la faillite et de l’insolvabilité, en plus de posséder une expertise en matière de protection des renseignements personnels.
Mais de son propre aveu, elle parvient efficacement à concilier tout cela. « Oh, je travaille fort, c’est sûr, indique-t-elle. Mais je dispose de toute la flexibilité nécessaire pour mener ces deux pans de ma vie. Je suis libre de gérer mon temps comme je le veux ».
N’a-t-elle cependant jamais eu envie de voir si l’herbe était plus verte ailleurs, dans un autre bureau ? « Je me suis déjà posé cette question, mais pourquoi le ferais-je ? répond-elle. Je travaille pour un cabinet qui a une excellente réputation, qui m’a donné l’opportunité de me développer et où je suis entourée de personnes agréables au quotidien. Je ne serais pas mieux ailleurs. »

Les talents de Dunton Rainville ne se trouvent pas qu’à Montréal. Ils se déploient dans sept bureaux à travers le Québec, comme à Sherbrooke, ou travaille depuis cinq ans Me Julien Dubois.
Ce natif de la Rive-Nord montréalaise connaît bien cette ville, puisqu’il y a réalisé son baccalauréat en droit et déjà brillé en remportant le prestigieux concours de plaidoirie Laskin. Il a également su assez rapidement la spécialité juridique dans laquelle il pratiquerait.
« Mes deux parents étaient des travailleurs autonomes, alors c’est un peu naturellement que je me suis dirigé vers le droit commercial », indique l’avocat, qui a trouvé sa place en litige commercial, en droit des affaires et en droit de la construction.
En plus de jouir d’une belle qualité de vie à Sherbrooke, Me Dubois a choisi Dunton Rainville pour plusieurs raisons, notamment pour la place que le cabinet fait aux nouveaux talents. « On y reconnaît et valorise les jeunes qui ont l’ambition de croître dans l’entreprise, avec la possibilité d’accéder plus rapidement qu’ailleurs au statut d’associé. De plus, on les écoute, on tient compte de leur opinion », explique-t-il.
L’avocat apprécie également le fait de disposer de confrères et consœurs dans toutes les spécialités, et surtout de partager avec eux des valeurs communes. « Le professionnalisme, le sens de la collaboration, la camaraderie. Ces éléments rendent notre travail agréable et stimulant au quotidien », dit-il.
Enfin, et c’est un atout indiscutable pour lui, il se sent soutenu dans tous les projets qu’il entreprend. « Le cabinet m’a encouragé à enseigner le cours de plaidoirie à l’Université de Sherbrooke, et il ne voit aucun problème à ce que je poursuive un D.E.S.S. en Management du sport. Bref, il est toujours là pour moi, c’est précieux », conclut-il.
Toujours viser plus haut
En janvier 2026, Me Marie-Philippe Beauvais fêtera ses trois ans de pratique au sein de Dunton Rainville, où elle avait aussi fait son stage avant l’obtention de son barreau.
Titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université de Sherbrooke, ainsi que d’une maîtrise en administration des affaires (MBA), Me Beauvais axe sa pratique sur le droit bancaire, de même que sur le litige civil et commercial.
Qu’apprécie-t-elle dans cette niche particulière ? « Je suis une femme de chiffres avec un côté entrepreneur, répond-elle. J’aime l’adrénaline, l’action et la solution rapide de problèmes. Et j’aime aussi me rendre en cour pour défendre au besoin les intérêts de mes clients. »
Me Beauvais s’est tout de suite sentie chez elle à Dunton Rainville. « Oui, le fit a été immédiat. J’y ai bénéficié d’un excellent soutien dans ma pratique, avec une acquisition rapide de connaissances et un très bon mentor pour m’encadrer », explique-t-elle.
L’avocate a également trouvé chaussure à son pied dans ce cabinet, qui s’est montré très ouvert à sa seconde passion… le soccer! La jeune femme a en effet un parcours d’athlète de haut niveau, notamment dans le circuit universitaire avec le Vert et Or de l’Université de Sherbrooke. « Ils ont été compréhensifs et ont même commandité mon équipe. Je l’ai beaucoup apprécié », indique-t-elle.
Désormais, l’avocate athlète souhaite assumer plus de responsabilités au sein du cabinet. « Chez Dunton Rainville, je sais que j’ai de la place pour le faire. Je trippe à mon travail, et je suis confiante que le cabinet m’épaulera dans mon évolution si je m’investis pleinement. »