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Diane Grégoire tuée à coups de barre de fer ?
Agence Qmi
2012-01-10 18:05:00
La Sûreté du Québec (SQ) ne dévoilera jamais les conclusions de l’anthropologue judiciaire qui a examiné les ossements de Diane Grégoire, mais la quinquagénaire aurait été battue à coups de barre de fer, a appris TVA Nouvelles.
C’est ce qu’affirme l’avocat de Paul Laplante, Me Marc Labelle, qui a eu connaissance de la preuve qui aurait été déposée devant le tribunal. Selon ce que ce dernier a été en mesure d’apprendre, une partie du cric de la voiture de Laplante a tout bonnement disparu.
À l’époque, le couple utilisait une fourgonnette Astro, de couleur blanche. Au cours de l’enquête, les policiers se sont longuement penchés sur le véhicule, y pratiquant plusieurs expertises poussées.
C’est à ce moment que les enquêteurs se seraient rendu compte qu’une pièce en métal du cric était manquante, a rapporté Me Labelle à TVA Nouvelles. Jumelée aux résultats des analyses médico-légales, cette information aurait permis de déterminer que la barre de fer était possiblement l’arme du crime.
Comme Paul Laplante s’est donné la mort, lundi, dans sa cellule de la prison Rivière-des-Prairies, l’homicide de Diane Grégoire ne sera jamais puni.
La preuve cumulée par les policiers sera quant à elle gardée secrète, sauf pour les proches de la victime. Laplante avait été arrêté, le mois dernier, puis accusé du meurtre au premier degré de la femme de 51 ans.
À l’époque, le couple utilisait une fourgonnette Astro, de couleur blanche. Au cours de l’enquête, les policiers se sont longuement penchés sur le véhicule, y pratiquant plusieurs expertises poussées.
C’est à ce moment que les enquêteurs se seraient rendu compte qu’une pièce en métal du cric était manquante, a rapporté Me Labelle à TVA Nouvelles. Jumelée aux résultats des analyses médico-légales, cette information aurait permis de déterminer que la barre de fer était possiblement l’arme du crime.
Comme Paul Laplante s’est donné la mort, lundi, dans sa cellule de la prison Rivière-des-Prairies, l’homicide de Diane Grégoire ne sera jamais puni.
La preuve cumulée par les policiers sera quant à elle gardée secrète, sauf pour les proches de la victime. Laplante avait été arrêté, le mois dernier, puis accusé du meurtre au premier degré de la femme de 51 ans.
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