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L’affaire Chantal Daigle, déjà 20 ans
L'équipe Droit-Inc
2009-07-27 11:15:00
Les plus jeunes ne s’en souviennent sûrement pas, pourtant il y a 20 ans aujourd’hui la Cour d’appel du Québec rendait un jugement qui allait faire les manchettes pendant plusieurs semaines.
Le plus haut tribunal au Québec reconnaissait en effet les droits de Jean-Guy Tremblay sur le fœtus porté par son ex-conjointe, Chantal Daigle, jugement qui allait toutefois être cassé deux semaines plus tard par la Cour suprême.
Le quotidien Le Soleil souligne cet anniversaire avec une entrevue avec Me Henri Kelada, l’avocat qui représentait Tremblay en 1989, alors que ce dernier tentait d'empêcher son ex-conjointe de se faire avorter après 20 semaines de grossesse.
Même s'il a perdu sa cause en Cour suprême et que son client s'est par la suite révélé être un multirécidiviste en matière de violence conjugale, Henri Kelada ne regrette pas d'avoir représenté Jean-Guy Tremblay, déclare-t-il au journaliste.
«Je ne souhaitais pas plaider la cause de Tremblay, mais celle de l'enfant à naître! La grossesse était assez avancée et, puisque j'avais gagné devant deux tribunaux inférieurs, j'étais confiant de l'emporter aussi en Cour suprême», a-t-il déclaré cette semaine au Soleil.
Pour lire la suite et avoir un résumé de cette illustre affaire, cliquez ici.
À lire aussi: Chantal Daigle veut la paix!
Le quotidien Le Soleil souligne cet anniversaire avec une entrevue avec Me Henri Kelada, l’avocat qui représentait Tremblay en 1989, alors que ce dernier tentait d'empêcher son ex-conjointe de se faire avorter après 20 semaines de grossesse.
Même s'il a perdu sa cause en Cour suprême et que son client s'est par la suite révélé être un multirécidiviste en matière de violence conjugale, Henri Kelada ne regrette pas d'avoir représenté Jean-Guy Tremblay, déclare-t-il au journaliste.
«Je ne souhaitais pas plaider la cause de Tremblay, mais celle de l'enfant à naître! La grossesse était assez avancée et, puisque j'avais gagné devant deux tribunaux inférieurs, j'étais confiant de l'emporter aussi en Cour suprême», a-t-il déclaré cette semaine au Soleil.
Pour lire la suite et avoir un résumé de cette illustre affaire, cliquez ici.
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10911
Me
il y a 15 ansC'est décevant de lire que Me Kélada a des convictions pro-vie.