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L'épouse de Gatti heureuse, sa soeur en colère
Agence Qmi
2011-12-16 17:41:00
Amanda Rodrigues, qui venait d’apprendre qu’elle pourra toucher l’héritage de son défunt mari, le boxeur Arturo Gatti, et la sœur de ce dernier, Anna-Maria Gatti, ont commenté la décision de la juge Claudine Roy, vendredi après-midi.
«Je suis très heureuse des conclusions de la juge Roy. La vérité a été démontrée et je mérite ce qui m’arrive maintenant», a expliqué Rodrigues, en direct de Brasilia, au Brésil, sur les ondes de 98,5 fm. La veuve de Gatti s’y trouve, parce qu’elle devait déposer des documents à l’ambassade des États-Unis en prévision du prochain procès pour la même cause qui se déroulera au New Jersey.
«Je viendrai au Québec dans deux semaines et, cette fois, je pourrai parler et m’expliquer puisque le verdict a été rendu. Je suis heureuse, mais je ne peux pas voir ça totalement comme une victoire, puisque ce n’est pas tout à fait terminé. Il y aura deux autres procès aux États-Unis.»
Questionnée par l’animateur Paul Houde à savoir si elle pourra maintenant renouer avec son ancienne famille, qui l’affrontait dans cette cause, Rodrigues a affirmé : «Ils m’ont fait très mal. Je ne pense pas que nous puissions tisser des liens d’amitié. Mais, lorsque je serai à Montréal, si mon ex-belle-famille veut voir Arturo fils (le jeune enfant du couple), je vais accepter. Je vais le faire parce que c’est ce qu’Arturo aurait souhaité et le faire aussi pour mon garçon.»
La partie adverse en colère
Interviewée tout de suite après Rodrigues, la sœur du défunt boxeur était en colère.
«La juge Roy vient de mettre les enfants d'Arturo dans la rue. Il n’y a rien pour eux, tout est à elle. Je ne respecte plus la juge», a lancé d’entrée de jeu Anna-Maria Gatti.
Questionnée elle aussi sur les possibilités d’un rapprochement avec l’ancienne épouse de son frère, Gatti a été cinglante.
«Jamais plus on ne pourra être des amis. Je ne vais jamais lui pardonner. Elle est morte comme mon frère est mort.»
Anna-Maria Gatti soutient que plus aucun recours n’est envisagé au Québec.
«Il y aura des procès aux États-Unis et on sait qu’avec la justice, c’est différent là-bas, que ce sera une autre décision.»
Gatti a aussi ajouté des paroles qui démontraient sa frustration face à cette affaire : «Là-bas, Arturo était encore plus aimé qu’au Québec».
«Je viendrai au Québec dans deux semaines et, cette fois, je pourrai parler et m’expliquer puisque le verdict a été rendu. Je suis heureuse, mais je ne peux pas voir ça totalement comme une victoire, puisque ce n’est pas tout à fait terminé. Il y aura deux autres procès aux États-Unis.»
Questionnée par l’animateur Paul Houde à savoir si elle pourra maintenant renouer avec son ancienne famille, qui l’affrontait dans cette cause, Rodrigues a affirmé : «Ils m’ont fait très mal. Je ne pense pas que nous puissions tisser des liens d’amitié. Mais, lorsque je serai à Montréal, si mon ex-belle-famille veut voir Arturo fils (le jeune enfant du couple), je vais accepter. Je vais le faire parce que c’est ce qu’Arturo aurait souhaité et le faire aussi pour mon garçon.»
La partie adverse en colère
Interviewée tout de suite après Rodrigues, la sœur du défunt boxeur était en colère.
«La juge Roy vient de mettre les enfants d'Arturo dans la rue. Il n’y a rien pour eux, tout est à elle. Je ne respecte plus la juge», a lancé d’entrée de jeu Anna-Maria Gatti.
Questionnée elle aussi sur les possibilités d’un rapprochement avec l’ancienne épouse de son frère, Gatti a été cinglante.
«Jamais plus on ne pourra être des amis. Je ne vais jamais lui pardonner. Elle est morte comme mon frère est mort.»
Anna-Maria Gatti soutient que plus aucun recours n’est envisagé au Québec.
«Il y aura des procès aux États-Unis et on sait qu’avec la justice, c’est différent là-bas, que ce sera une autre décision.»
Gatti a aussi ajouté des paroles qui démontraient sa frustration face à cette affaire : «Là-bas, Arturo était encore plus aimé qu’au Québec».
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