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Nima Mazhari ne mange plus
L'équipe Droit-inc
2009-11-25 10:15:00
S’estimant injustement emprisonné, le conjoint de Myriam Bédard a décidé d’entamer une grève de la faim «pour protester contre cette injustice politiquement organisée.»
Nima Mazhari purge depuis quelques semaines une peine de six mois de prison pour vol et recel d'œuvres d'art. Il a été débouté en Cour d’appel au début du mois d'octobre, rapporte le Journal de Québec.
Depuis plus d'un mois, il tente de soumettre son dossier à la Cour suprême du Canada. Dans un mois, il aura déjà écoulé plus du tiers de sa sentence. Il affirme ne plus avoir confiance en ses avocats.
«Ce dossier est une fabrication politique jugée par des barbares marionnettes terroristes afin de terroriser ma vie et ma famille. (...) Je préfère mourir vivement que d'accepter le terrorisme politique d'État s'imposer au nom de la justice», écrit-il, affirmant du coup qu'il a cessé de s'alimenter le 22 novembre à 17h.
Rappelons-le, en juin 2007, il avait été reconnu coupable d’avoir volé une vingtaine de tableaux d’une valeur de plus de 80 000 $ à une dame âgée de 78 ans, très malade, alitée et particulièrement vulnérable.
Il avait été condamné à six mois de prison assortie d’une ordonnance de probation de deux ans, peine qu’il n’avait pas purgée en attendant la décision en appel.
Pour lire la suite dans le Journal de Québec, cliquez ici.
Depuis plus d'un mois, il tente de soumettre son dossier à la Cour suprême du Canada. Dans un mois, il aura déjà écoulé plus du tiers de sa sentence. Il affirme ne plus avoir confiance en ses avocats.
«Ce dossier est une fabrication politique jugée par des barbares marionnettes terroristes afin de terroriser ma vie et ma famille. (...) Je préfère mourir vivement que d'accepter le terrorisme politique d'État s'imposer au nom de la justice», écrit-il, affirmant du coup qu'il a cessé de s'alimenter le 22 novembre à 17h.
Rappelons-le, en juin 2007, il avait été reconnu coupable d’avoir volé une vingtaine de tableaux d’une valeur de plus de 80 000 $ à une dame âgée de 78 ans, très malade, alitée et particulièrement vulnérable.
Il avait été condamné à six mois de prison assortie d’une ordonnance de probation de deux ans, peine qu’il n’avait pas purgée en attendant la décision en appel.
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