Nouvelles
Miller Thompson sur les vertus du libre-échange
Agnès Wojciechowicz
2011-02-03 13:15:00
Le cabinet juridique vient de sortir une étude menée auprès de 200 dirigeants d'entreprises réparties sur l'ensemble du pays. Quel est le sujet et les résultats du rapport Miller Thompson ?
L'étude réalisée à la fin de l'année dernière par le cabinet Miller Thompson avait pour objectif d'interroger les chefs d'entreprise canadiennes, sur la manière dont ils perçoivent les accords actuels en matière de libre-échange plus particulièrement avec l'union Européenne et la Chine.
Les résultats du rapport révèlent ainsi que 90 % des chefs d'entreprises estiment que le Canada a tiré profit des accords de libre-échange actuellement en vigueur. 60 % d'entre eux jugent que le libre-échange avec l'Union européenne devrait être au cœur des priorités gouvernementales et 37 % considèrent qu'il est urgent de revoir la relation commerciale entre le Canada et la Chine.
Pour Me Gerald Courage, président de Miller Thomson, « ces résultats font foi de l'intérêt qu'accordent les entreprises canadiennes aux marchés étrangers. »
Et parmi les faits saillants de l'étude, on note que 57 % des chefs d'entreprise considèrent que les accords de libre-échange ont incontestablement avantagé les entreprises canadiennes tandis que 32 % d'entre eux qualifient cet avantage de marginal. D'autre part, les répondants estiment que les meilleures occasions commerciales se trouvent en Allemagne pour 90 % d'entre eux, au Royaume-Uni pour 84 % et en France (pour 82 %.
Enfin, selon les répondants, les pays de l'Union européenne dont l'Allemagne pour 57 % d'entre eux et le Royaume-Uni pour 40 % semblent représenter la plus grande menace pour les entreprises canadiennes. Pour finir, 59% des interrogés ont estimé qu'un libre-échange avec la Chine était soit extrêmement important ou important.
Pour lire, consulter l'étude, cliquer ici.
Les résultats du rapport révèlent ainsi que 90 % des chefs d'entreprises estiment que le Canada a tiré profit des accords de libre-échange actuellement en vigueur. 60 % d'entre eux jugent que le libre-échange avec l'Union européenne devrait être au cœur des priorités gouvernementales et 37 % considèrent qu'il est urgent de revoir la relation commerciale entre le Canada et la Chine.
Pour Me Gerald Courage, président de Miller Thomson, « ces résultats font foi de l'intérêt qu'accordent les entreprises canadiennes aux marchés étrangers. »
Et parmi les faits saillants de l'étude, on note que 57 % des chefs d'entreprise considèrent que les accords de libre-échange ont incontestablement avantagé les entreprises canadiennes tandis que 32 % d'entre eux qualifient cet avantage de marginal. D'autre part, les répondants estiment que les meilleures occasions commerciales se trouvent en Allemagne pour 90 % d'entre eux, au Royaume-Uni pour 84 % et en France (pour 82 %.
Enfin, selon les répondants, les pays de l'Union européenne dont l'Allemagne pour 57 % d'entre eux et le Royaume-Uni pour 40 % semblent représenter la plus grande menace pour les entreprises canadiennes. Pour finir, 59% des interrogés ont estimé qu'un libre-échange avec la Chine était soit extrêmement important ou important.
Pour lire, consulter l'étude, cliquer ici.
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1 commentaire
Anonyme
il y a 13 ansPas pour le nord américain qui perd ça job au profit d'un chinois qui coute moins cher, ni pour ce chinois, qui la perd ensuite au profit d'un indien qui coute encore moins cher, ni pour les actionnaire, quand à la fin plus personne n'a d'argent pour acheter ce que fabriquent les damnés les moins payés du monde.
Vive les tarifs douaniers judicieusement conçus pour le bien commun.