Le stress de la performance

L'équipe Droit-Inc
2011-11-03 11:15:00

« À vrai dire, les étudiants qui viennent en consultation ont tous un très bon potentiel. Ils arrivent préparés, avec des questions précises et ils cherchent des méthodes ou des outils techniques pour arriver mieux préparés en classe », explique l’assistant Simon Pelletier.
Alliant réconfort et explications, Amélie B. Goudreau et lui répondent aux questions des étudiants de première année. Durant la session d’automne, pour permettre l’acclimatation au Code civil et la familiarisation aux autres aspects de la dure réalité des études en droit, ils sont disponibles avec ou sans rendez-vous une seizaine d’heures par semaine.
« En dehors du volet académique de répondre aux questions, le volet subjectif fait aussi partie intégrale du travail de mentorat que nous offrons. Orienter et motiver les étudiants, c’est aussi les supporter dans leur gestion personnelle du stress et du temps d’études », explique Mme Goudreau.
Les deux assistants sont convaincus qu’ils font une différence pour les étudiants. « À la fin d’une rencontre, leur non verbal expose souvent qu’ils se sentent plus à l’aise. Évidemment, tous les étudiants n'ont pas les mêmes objectifs en tête. Certains sont euphoriques à l'idée d'avoir un B-, alors que d'autres ne visent rien en-dessous du A+. Notre travail est de les encourager à se dépasser afin qu'ils surmontent leurs défis personnels, quels qu'ils soient », confie l’assistante.
De semaine en semaine, une cinquantaine de rencontres s’effectuent. Il y a même parfois une file d’attente sur l’heure du dîner alors que les plages horaires du matin sont plus calmes. « Les matières du Code civil semblent plus exigeantes au début de la licence. Les étudiants sont nerveux parce qu’ils commencent, mais une fois qu’ils saisissent la structure du code, ils s’enlignent sur la bonne voie », affirme M. Pelletier.
Amélie Goudreau représentera la Section civile de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa lors du concours de plaidoirie Jessup 2012 en droit international. Elle entend travailler dans ce domaine à la fin de ses études. Quant à Simon Pelletier, il a décroché un stage au gouvernement fédéral et souhaite devenir procureur au criminel. Il fait le concours de plaidoirie Sopinka en droit pénal cette année.
Note: cet article a été publié sur le site de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Il est reproduit ici avec l'autorisation de la Faculté.
DSG
il y a 13 ansJust keep in mind that even if you were to get good grades, it's more than likely that you'll never succeed as a lawyer.
Me(e)
il y a 13 ans> Just keep in mind that even if you were to get good grades, it's more than likely that you'll never succeed as a lawyer.
For once, I must say that I somewhat agree with you.
Re
il y a 13 ans> Just keep in mind that even if you were to get good grades, it's more than likely that you'll never succeed as a lawyer.
And what about you? I guess that you are the chosen one right?
DSG
il y a 13 ans> > Just keep in mind that even if you were to get good grades, it's more than likely that you'll never succeed as a lawyer.
>
> And what about you? I guess that you are the chosen one right?
I’m one that realized early on that most professors know jack and that all one needs to do to get decent grades is to massage their egos. The trick to doing that is repeating stuff they said in class in the exams (even if it consists of a joke, a specific example or a word that they used). My grades were just decent enough to get my foot in the door, and then once I was in, I demonstrated to my peers to what extent professors know jack. So I became successful.
The students who know this are not stressing one bit at this point.