Qui sont les lauréats québécois du Prix Justice Rosalie-Silberman Abella?

Coup de projecteur sur les étudiants québécois qui ont remporté le prestigieux prix…

Chaque année, le Prix Rosalie-Silberman-Abella est remis à une personne étudiante diplômée en droit d’une faculté canadienne et étant le plus susceptible d'exercer une influence positive sur l'équité et la justice sociale au Canada ou dans le monde après l'obtention de son diplôme.
Alors, qui sont les heureux élus cette année?
Université d’Ottawa (droit civil)
Diplômée en droit civil de l’Université d’Ottawa, Maude Boucher s’est investie dans des initiatives juridiques et sociales, dont Étudiant(e)s Pro Bono Canada et l’association étudiante d’Avocats sans frontières.
Elle souhaite faire une maîtrise en droit international pour contribuer au renforcement de la justice pénale internationale et de la lutte contre l’impunité.

Université de Sherbrooke
Léa Mark Guillemette a toujours voulu contribuer à un monde plus juste et inclusif. À l’université, elle s’est notamment impliquée en tant que coordonnatrice du comité féministe et rédactrice en chef du journal étudiant.
Elle souhaite poursuivre cet apport communautaire dans son futur. Elle a récemment complété sa maîtrise en droit et sciences de la vie par la rédaction d’un essai portant sur les écocides.
Université Laval
Récemment diplômé en droit, Alex Laurent s’engage à participer à la construction d’une société plus égalitaire. À travers ses recherches sur l’aide médicale à mourir et son implication à la Clinique juridique en droit civil de l’Université Laval, il défend la dignité des personnes vulnérables et l’accès équitable à la justice.
UQAM

Kim Plourde, finissante en droit à l’Université du Québec à Montréal, maintient quotidiennement son implication envers la justice et l’équité. Par son engagement à la Clinique de justice sociale, elle exerce ses compétences dans la défense des droits des personnes vulnérables.
Membre du Comité d’action pour les Premiers Peuples de l’UQAM, elle agit dans l’intérêt des peuples autochtones et contribue à la mise en action de recommandations pour l’inclusion réelle.

Université McGill
Au cours de ses études de droit, Hina Rani a dirigé la Clinique d’aide juridique sur les droits des travailleurs de Montréal et a fait du bénévolat en tant que travailleuse sociale au Centre d’amitié autochtone. Elle a également travaillé comme assistante de recherche, notamment sur la revitalisation des ordres juridiques autochtones.
Université de Montréal

Céleste Trianon est la fondatrice de la Clinique juridique Juritrans, une clinique juridique et organisme de défense des droits desservant les personnes trans au Québec. Militante passionnée, elle continue de lutter pour les droits de sa communauté, en éduquant, en allant aux tribunaux, et en combattant la désinformation au quotidien.