Tombé dans la marmite du droit!
Nicholas Teasdale
2010-08-16 11:15:00
Lors d’un stage au Sheraton de Laval, il découvre aussi l’univers syndical.
« Avant ce stage, j’étais bus boy ou serveur. Ce stage a allumé une petite flamme qui a grandi avec tous les cours que j’ai pris à l’université. »
Le virus du droit l’a contaminé et ne le lâchera plus.
Diplômé de l’ITHQ en juin 2005, il s’inscrit à l’UQAM deux mois plus tard en août. Là-bas, il commence son baccalauréat tout en s’impliquant dans la vie étudiante. Il devient président de l’association étudiante de droit de l’université.
« Cela développe le leadership, la gestion d’équipe et un certain sens des responsabilités. » Du pain bénit pour ses futurs employeurs.
Déontologie policière et griefs syndicaux
C’est donc chez Castiglio et Associés qu’il fait son stage aujourd'hui. Au sein de ce petit cabinet montréalais spécialisée en droit du travail, représentant avant tout les syndicats policiers, il plonge dans l’univers de la CSST, des griefs syndicaux et de la déontologie policière.
« Le droit du travail, cela touche directement à la personne, un peu comme au criminel, (c’)est une part importante de la vie des gens, » explique le stagiaire.
Aujourd’hui il se dit fort satisfait de pouvoir se concentrer sur le droit du travail et sur certains dossiers de droit administratif : « Pour moi, c’est parfait de ne pas faire de rotation comme dans les grands bureaux. Je sais ce qui m’intéresse et je peux me concentrer là-dessus. »
Pour ce jeune amateur de golf, le travail doit être humain, même si la pratique privée implique de travailler fort.
« Quand il y a une injonction le lendemain, tu oublies ta partie de golf. Mais je n’ai pas encore couché au bureau et je ne compte pas le faire ! », avoue-t-il.
Alors si parfois il quitte son travail un peu plus tôt, c’est toujours pour remplir des obligations familiales : « La famille est très importante pour moi : c’est ça être Italien! »
L’ancien étudiant en hôtellerie espère bien continuer chez Castiglio à la fin de son stage en novembre.
« Mon maître de stage est un passionné, membre du Barreau depuis 30 ans. J’apprends tous les jours, ça rend le travail vraiment intéressant », explique Marc Mancini, qui a la ferme intention de poursuivre sa maîtrise en droit du travail sans quitter la pratique.
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Me
il y a 15 ans>>> "À date", cela ne se dit pas en français.
Bien vu. "Conter" est à déconseiller aussi.
Anonyme
il y a 15 ansMarc Mancini : Auteur de " Les droits et libertés de la personne en milieu syndical : l’arbitre de grief ou le Tribunal des droits de la personne, quel est le forum compétent?" (Revue du Barreau, 2009,Tome 68)
http://www.caij.qc.ca/doctrine/revue_du_barreau/68/1713/index.html
Signé NS
Me
il y a 15 ans>>>> De toutes façons, vos commentaires dans le passé m'ont démontré que vous ne faites pas d'injonction.
Intéressant. Donc ce que vous avez lu dans le passé vous indique ce que je fais en Août 2010 :-)
Anonyme
il y a 15 ansMarc Mancini a publié un texte dans la Revue du Barreau (2009, tome 68)
Les droits et libertés de la personne en milieu syndical : l’arbitre de grief ou le Tribunal des droits de la personne, quel est le forum compétent ?
http://www.caij.qc.ca/doctrine/revue_du_barreau/68/1713/index.html
Anonyme
il y a 15 ansHé DSG, veil aigri, on sait tous que tu peux pas arrêter de pleurer contre l'UQAM parce que l'université t'a refusé au Bacc à cause de ta nullité en français. Ouep, l'UQAM c'est pas comme ton cabinet, ils ont pas besoin d'un anglo de service.
Me
il y a 15 ansDommage, DSG. T'as aucune idée de la quantité de chicks qui "dig" plein de choses à l'UQAM. Tu aurais aimé ça. J'ai fait quelques remplacements pour un confrère que était chargé de cours il y a quelques années et je peux te dire que... bref, tu aurais aimé ça.
DSG
il y a 15 ans> Dommage, DSG. T'as aucune idée de la quantité de chicks qui "dig" plein de choses à l'UQAM. Tu aurais aimé ça. J'ai fait quelques remplacements pour un confrère que était chargé de cours il y a quelques années et je peux te dire que... bref, tu aurais aimé ça.
Wrong again, douche. I don’t dig chicks in sandals and backpacks.
GBS
il y a 15 ansGBS: " (...) vous argumentiez qu'on ne peut obtenir une injonction qu'une fois le mal fait."
Me: "Jamais affirmé cela."
Mais oui vous l'avez fait:
"Une injonction, en absence de faute civile, ne s'accorde jamais pour empêcher un acte futur que la loi prohibe. Il faut faute, donc ouverture à une injonction provisoire pour donner ouverture à la permanente."
Juste cet extrait démontre que vous ne pratiquez pas vraiment, ou en tous cas que vous ne connaissez rien en injonction.
>Le client n'a jamais besoin d'une provisoire pour le lendemain.
Habituellement, le client a besoin d'une provisoire maintenant, mais la pratique veut qu'on avise la partie adverse environ 24h à l'avance. Les juges insistent.
Si on veut empêcher quelque chose qui va se produire dans les prochaines heures, il faut en saisir la cour immédiatement.
>Intéressant. Donc ce que vous avez lu dans le passé vous indique ce que je fais en Août 2010 :-)
Alors admettez-vous que vous mentiez en mai dernier lorsque vous affirmiez vous y connaître en injonction?
C'est amusant de vous voir pédaler.
Me
il y a 15 ans>>> Wrong again, douche. I don’t dig chicks in sandals and backpacks.
Vous avez un écoulement blanc-mousseux sur le coin de la bouche. Un kleenez?