8 juges nommés à la Cour du Québec!
Céline Gobert
2016-08-18 15:00:00
Me Annie Vanasse, quant à elle, a été nommée juge de paix magistrat à la Cour du Québec.
Qui sont-ils?

En plus de sa pratique chez Stein Monast, elle était chargée de cours à l'Université Laval où elle enseignait notamment la responsabilité civile, le droit judiciaire ou encore le cours de Tribunal-école qui vise à faire vivre aux étudiants l'expérience d'un dossier en appel.

Notons que Mes Cotnam et Gosselin exerceront leurs fonctions principalement à la Chambre civile à Québec.
Me Line Bachand : Détentrice d'un baccalauréat en droit de l'Université de Sherbrooke, elle a été admise au Barreau en 1988. Elle a exercé sa profession d'avocate au sein de centres de services sociaux et du Centre jeunesse de Laval. Depuis 2015, elle était avocate-conseil à l'Institut national d'excellence en santé et en services sociaux.

Me François Ste‑Marie : Détenteur d'un baccalauréat en droit de l'Université de Montréal. Il a été admis au Barreau en 1991. Il a commencé sa carrière au Centre jeunesse de Montréal. Il a poursuivi celle-ci aux Centres de la jeunesse et de la famille Batshaw où il était revenu depuis 2010.
Notons que Me Line Bachand, Me Paul Grzela et Me François Ste-Marie exerceront leurs fonctions principalement à la Chambre de la jeunesse à Montréal.

Me Greffe exercera ses fonctions principalement à la Chambre criminelle et pénale à Longueuil.

Me Boillat exercera ses fonctions principalement à la Chambre civile et à la Chambre criminelle et pénale à Roberval.
Me Annie Vanasse : Détentrice d'un baccalauréat en droit de l'Université de Sherbrooke, elle a été admise au Barreau en 2002. Elle a commencé sa carrière au Bureau d'aide juridique de Drummondville. Depuis 2011, elle exerçait sa profession au bureau du Directeur des poursuites criminelles et pénales à Shawinigan.
Me Vanasse exercera principalement ses fonctions de juge de paix magistrat de la Cour du Québec à Trois-Rivières.
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Anonyme
il y a 9 ansFélicitations à tous et à toutes. Tu veux être un juge au Québec et tu es un homme, Bonne chance mon vieux !
Ritchie Bee
il y a 9 ansAinsi, on constate que Me Line Bachand et Me François Ste‑Marie travaillaient pour les Centres jeunesse DPJ, et qu'ils exerceront leurs fonctions principalement à la Cour du Québec Chambre de la jeunesse à Montréal.
Expliquez nous car nous ne comprenons pas ce manque de transparence et d’impartialité, alors que la population a déjà bien de la misère à faire confiance dans le système judiciaire?
On note la même problématique extrêmement préjudiciables pour les enfants et leur famille dans le conflit d'intérêts avec la nomination du vice-président responsable du mandat jeunesse de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ), Camil Picard, ex directeur dans les Centres jeunesse, ainsi que leurs enquêteurs qui ont le mandat de faire enquête sur les Centres jeunesse DPJ.
C'est la crédibilité même de la Commission des Droits de la Personne et des Droits de la Jeunesse (CDPDJ) qui est ébranlée. La répétition de toutes ces situations individuelles de lésions de droit et d'ordonnances judiciaires non respectées aux vues et aux sus de la Commission qui ferme les yeux bien souvent affecte directement les justiciables concernés.
Dans la présente affaire, les enfants et toute la population se sont vus confirmer qu'il existait deux catégories de justiciables au Québec. C'est un peu la parabole de la paille et de la poutre.
La Commission des Droits de la Personne et des Droits de la Jeunesse (CDPDJ) n'hésite pas à dénoncer les bavures policières et le manque de transparence lors des enquêtes policière. Prompt à bien documenter la paille dans l'œil des policiers, la Commission ne semble pas voir la poutre dans le sien.
Le nombre d’Enfants victimes de bavures de la part de la DPJ sans faire de distinction de race ou de sexe est perturbant. Cela doit cesser, comme le demande la Fondation des VingtCœurs pour Enfants depuis des années. ===__La DPJ ne doit plus enquêter sur la DPJ__===. Il en va de la crédibilité même de tout le système judiciaire, ce qui permettrait de rétablir la confiance du public dans la CDPDJ et de tout le système judiciaire responsable de la protection de la jeunesse.
Ritchie Bee, Président de la Fondation des VingtCœurs pour Enfants
Jean Jacques John Ranger
il y a 9 ansTres bien dit. Tres bien.