Course aux stages 2009
Gowlings : Seuls huit stagiaires seront choisis
Gérard Samet
2009-03-11 11:00:00
400. C’est le nombre de CV qu’a reçus cette année le bureau montréalais de Gowlings pour la course aux stages 2009, qui a débuté officiellement cette semaine.
Ça semble beaucoup, mais au bout du processus de sélection, seulement 8 stagiaires seront choisis.
Maître Martine Guimond, l’associée responsable des stages chez Gowlings, prend le temps de décortiquer personnellement tous les dossiers. Puis une équipe de 5 avocats, associés de différents départements, pratique une présélection.
Critères : des notes correctes, mais pas forcément une moyenne de A. Pas seulement des candidats dans la jeune vingtaine non plus, ni de parfaits bilingues.
« On ne se privera jamais d’un bon candidat», dit Maître Guimond. Pour cela, elle tient compte de l’ensemble de la personnalité des candidats.
Tous ne sont pas passés directement du Cégep à l’Université. Il y a ceux qui ont obtenu un autre diplôme avant le droit, et encore qui ont cumulé une vie professionnelle ou/et une vie de famille pendant leurs études.
« Nous voulons des gens complets, qui ont des qualités propres comme du charisme, de l’entregent, ou un talent de recherche.», précise Me Guimond.
Les candidats présélectionnés n’auront qu’une seule entrevue, devant les 5 avocats responsables. A ce stade, le contact personnel est essentiel. Voilà pourquoi «les cocktails et lunchs de la course au stage sont des outils qui permettent de mieux connaître les candidats et qui leur donnent une autre chance de se faire valoir», insiste Me Guimond.
L’objectif est de sélectionner les associés de demain du cabinet. On cherche à voir si les candidats pourront éventuellement bien s’intégrer aux équipes, ou être présentés aux clients.
Les heureux élus, étudiants de deuxième année, pourront intégrer le cabinet pendant les congés, dès l’été 2009, puis en été 2010, avant de faire leur stage en 2011 après l’École du Barreau. Ils travailleront dans la salle commune des stagiaires et des étudiants, et pourront se démarquer par l’excellence de leur travail. Et si le stagiaire a besoin d’un soutien dans une langue, il recevra des cours.
«Il faut faire confiance aux étudiants, ils ne nous choisissent pas en fonction des cocktails, mais de notre réputation», conclut Me Guimond.
Maître Martine Guimond, l’associée responsable des stages chez Gowlings, prend le temps de décortiquer personnellement tous les dossiers. Puis une équipe de 5 avocats, associés de différents départements, pratique une présélection.
Critères : des notes correctes, mais pas forcément une moyenne de A. Pas seulement des candidats dans la jeune vingtaine non plus, ni de parfaits bilingues.
« On ne se privera jamais d’un bon candidat», dit Maître Guimond. Pour cela, elle tient compte de l’ensemble de la personnalité des candidats.
Tous ne sont pas passés directement du Cégep à l’Université. Il y a ceux qui ont obtenu un autre diplôme avant le droit, et encore qui ont cumulé une vie professionnelle ou/et une vie de famille pendant leurs études.
« Nous voulons des gens complets, qui ont des qualités propres comme du charisme, de l’entregent, ou un talent de recherche.», précise Me Guimond.
Les candidats présélectionnés n’auront qu’une seule entrevue, devant les 5 avocats responsables. A ce stade, le contact personnel est essentiel. Voilà pourquoi «les cocktails et lunchs de la course au stage sont des outils qui permettent de mieux connaître les candidats et qui leur donnent une autre chance de se faire valoir», insiste Me Guimond.
L’objectif est de sélectionner les associés de demain du cabinet. On cherche à voir si les candidats pourront éventuellement bien s’intégrer aux équipes, ou être présentés aux clients.
Les heureux élus, étudiants de deuxième année, pourront intégrer le cabinet pendant les congés, dès l’été 2009, puis en été 2010, avant de faire leur stage en 2011 après l’École du Barreau. Ils travailleront dans la salle commune des stagiaires et des étudiants, et pourront se démarquer par l’excellence de leur travail. Et si le stagiaire a besoin d’un soutien dans une langue, il recevra des cours.
«Il faut faire confiance aux étudiants, ils ne nous choisissent pas en fonction des cocktails, mais de notre réputation», conclut Me Guimond.
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