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L'équipe Droit-inc

2015-06-26 13:15:00

Un homme est accusé d’avoir braqué une banque avec un objet sexuel, un autre de s’être marié 25 fois, tandis que des voyageurs ont reçu une amende pour avoir tenté d’arrêter un avion...

Accusé d'avoir braqué une banque avec un jouet sexuel

Accusé d'avoir braqué une banque avec un jouet sexuel
Accusé d'avoir braqué une banque avec un jouet sexuel
Aaron Stein a comparu au palais de justice de Crafton en Pennsylvanie pour faire face à plusieurs accusations d'agression et de vol.

L'homme de 35 ans est accusé d'avoir camouflé un jouet sexuel pour le faire passer pour une bombe qu'il a utilisée lors du braquage.

Selon les documents de cour, il aurait volé la banque après avoir perdu tout son argent à la bourse la semaine précédente.

Le juge a ordonné qu'il passe une évaluation psychiatrique

Poursuivi pour s’être marié 25 fois

Winston Blackmore
Winston Blackmore
Le chef d’une secte polygame n’a pas réussi à convaincre la Cour suprême de la Colombie-Britannique de faire tomber les accusations de polygamie qui pèsent contre lui, a rapporté jeudi le «Vancouver Sun».

Winston Blackmore qui dirige la communauté mormone de Bountiful en est accusé d’avoir eu 25 mariages entre 1975 et 2001. Son avocat avait soutenu en cour que la province avait agi de manière inappropriée en nommant plusieurs procureurs spéciaux à partir de 2007, jusqu’à en trouver un qui recommanderait de déposer une poursuite contre le dirigeant fondamentaliste.

Cet avocat, Joe Arvay, avait utilisé avec succès le même argument en 2009 pour convaincre la cour de rejeter la précédente tentative de la province de poursuivre M. Blackmore.

Les 25 mariages de M. Blackmore ont eu lieu bien avant que la Cour suprême de la Colombie-Britannique détermine en 2011 que les lois canadiennes sur la polygamie étaient constitutionnelles et qu’elle ne violait pas la liberté religieuse reconnue dans la Charte canadienne des droits et libertés.

L’avocat de M. Blackmore a argumenté qu’on ne pouvait accuser son client de polygamie alors qu’il existait un flou juridique sur cette pratique avant la décision de la cour en 2011.

En retard, ils tentent d’arrêter l’avion sur le tarmac

En retard, ils tentent d’arrêter l’avion sur le tarmac
En retard, ils tentent d’arrêter l’avion sur le tarmac
Les embouteillages ont eu raison de la patience et de la clairvoyance de Matteo Clementi et de sa compagne Enrica Apollonio, âgés respectivement de 26 et 23 ans.

Après avoir bataillé pendant près de deux heures dans les bouchons de circulation pour se rendre à l’aéroport situé au sud de la petite île européenne, ils n’ont reculé devant rien pour prendre leur vol pour Bari, le 17 juin.

Le site du journal «Times of Malta» explique que les deux passagers «se sont enregistrés puis ont couru vers la porte d’embarquement. Les hôtesses ont refusé de les laisser passer, car la porte avait déjà été fermée».

Les retardataires ont contourné l’obstacle en forçant une issue de secours non loin de là, avant de se précipiter sur le tarmac et faire des signes aux pilotes pour qu’il les laisse monter dans l’appareil de la compagnie Ryanair.

Si l’avion n’avait pas encore commencé à se déplacer, les moteurs étaient en marche et les escaliers enlevés.

Arrêté par les équipes de sécurité de l’aéroport, le couple a été présenté devant un juge le lendemain. Il risquait jusqu’à deux ans de prison, mais a finalement été condamné à payer une amende de 2329 euros (environ 3261 dollars).

L’histoire a particulièrement marqué Enrica Apollinio qui aurait dû célébrer son anniversaire en famille à la sortie de l’avion dans lequel elle n’est finalement jamais montée. Comme l’a expliqué son avocat, la jeune femme a finalement fêté ses 23 ans dans une cellule.

- Avec Agence QMI
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