Affaires insolites

L'équipe Droit-Inc
2015-06-19 13:15:00

La jeune femme s’était fait tatouer le doigt et le pied sans dire au tatoueur qu’elle nourrissait son bébé et son ex-conjoint avait indiqué au juge qu’elle souffrait de problèmes psychiatriques et de drogue. Considérant qu’il y a avait un risque qu’elle ait contracté un virus transmis par le sang, le juge lui a interdit d’allaiter dans une décision rendu le 5 juin dernier
En appel, cette décision a été renversée par le Tribunal aux affaires familiales de Sydney qui a considéré que la preuve du risque pour l’enfant n’avait pas été rapportée.
Les tests HIV et d’hépatite de la mère étaient négatifs. Elle a bénéficié d’un traitement pour dépression post-natale et a été consommatrice de cannabis au cours des deux dernières années, rapporte TVA Nouvelles.
Le tribunal a indiqué que les juges ne devaient pas confondre leurs sentiments personnels avec des faits ou des preuves d’experts.
La CSST lui paie son Cialis - Avec Agence QMI

Le travailleur quinquagénaire dont l’identité est protégée par la Commission, a été victime d’une blessure au dos en septembre 2011, pour laquelle il a reçu des prestations. Peu de temps après, il sombre dans la dépression et doit prendre de nombreux médicaments autant pour la douleur que pour son état psychologique. En mars 2013, la CSST reconnaît alors le lien entre sa blessure et sa condition dépressive.
L’employé affirme n’avoir jamais subi de troubles érectiles avant son accident. « Le travailleur précise que c’est la gêne qui l’a empêché de parler de ce problème à son médecin dès le début et qu’il espérait que cela puisse se régler avec le temps », peut-on lire dans le jugement. Ce n’est en effet qu’en février 2014 que son docteur lui prescrit du Cialis, qui aide à la fonction érectile.
La CSST avait alors reconnu quelques mois plus tard le nouveau diagnostic de dysfonction, ce qui a été contesté par l’employeur et infirmé par une décision administrative, d’où le litige, qui a mené les parties devant un juge administratif.
Dès lors, les avis médicaux se succèdent. L’on doit déterminer si les troubles d’érection de l’homme sont liés à ses médicaments ou à la présence de diabète. La preuve viendra démontrer que les changements à la libido sont en lien avec la médication prescrite.
La juge de la Commission des lésions professionnelles n’a pu que conclure que la dysfonction érectile du travailleur constitue une lésion professionnelle au sens de la Loi sur les accidents de travail et les maladies professionnelles et qu'il a droit aux prestations prévues en vertu de ce diagnostic.
Pris à voler du vin de messe - Avec Agence QMI
Tôt mardi matin, les policiers de Québec se sont rendus au bureau diocésain du boulevard René-Lévesque après que le système d’alarme eut été déclenché. Sur place, ceux-ci ont constaté qu’il y avait eu introduction par effraction et ont donc ratissé le secteur pour tenter de retrouver un suspect.
Le maître-chien a ensuite été appelé sur les lieux et a rapidement localisé un individu qui se cachait dans le vide sanitaire du bâtiment. « Il n’a pas été mordu », a indiqué Pierre Poirier du SPVQ.
Le suspect de 35 ans avait en sa possession des bouteilles de vin de messe ainsi que des cierges et des chandeliers lorsqu’il a été arrêté.
Ce dernier sera donc accusé de vol, d’introduction par effraction ainsi que de possession d’outils de cambriolage mardi après-midi au palais de justice de Québec.