Comment séduire le marché chinois

Céline Gobert
2011-04-18 13:15:00

« Parler la langue et connaître la culture chinoise est un point déterminant », dit Rusty Miller, associé chez Ogilvy Renault, à Calgary.
Les conseillers doivent être bilingues et offrir des garanties solides en matière de délais, de normes de paiement et de performance.
Le soin porté à la relation est primordial, le guide appelle cela : guanxi. Les avocats d'affaires canadiens qui souhaitent participer à la croissance du commerce avec la Chine doivent être respectueux des différences culturelles entre les deux pays, disent les avocats impliqués dans des affaires juridiques au Canada et en Chine.
« Il est capital de saisir toutes les différences en culture d’entreprise, éthique ou droit interne », déclare Peter Newell, spécialiste en droit corporatif et commercial chez Ogilvy Renault.

Enfin : savoir atteindre ses objectifs sans s’opposer à quiconque.
« La relation au client chinois est basé sur le consensus », déclare David Lefebvre, auteur de la plus grande acquisition étrangère par une entreprise chinoise, à l’oeuvre pour le géant pétrolier Sinopec aux États-Unis et le canado-suisse Addax Petroleum.
Une chose est sûre : à condition d’être prêts, les bénéfices à retirer d’interactions avec la Chine sont immenses.
Le guide se [http://www.nortonrose.com/knowledge/publications/2011/pub33491.aspx?lang=en-gb
|consulte ici].