Les insolites de la semaine!

Diane Poupeau
2019-04-12 14:15:00

Samuel Adams, un brasseur de Boston, a lancé une bière en édition limitée consacrée à la juge de la Cour suprême des États-Unis Ruth Bader Ginsburg, rapporte le ABA Journal.
La bière s'appelle « When There Are Nine », en référence à la réponse de RBG lorsqu'on lui a demandé quand il y aura assez de femmes à la Cour suprême.
Cette IPA Brut belge a été brassée le 8 mars, journée internationale des droits des femmes. Les 20 fûts, soit environ 2 500 bières, seront servis à Boston jusqu'à épuisement des stocks.
Six mois de prison pour un quiproquo

Les faits se sont déroulés en mai 2018. En pleine nuit, trois jeunes tombent sur une voiture qui vient d’être accidentée. Ils se proposent de donner un coup de main aux passagers du véhicule mais comprennent vite qu'ils ne sont pas les bienvenus.
Ils décident donc de repartir, mais sont gênés pour manœuvrer par une petite bitte (un plot en béton) qui borde la rue. Un des jeunes sort donc expliquer aux personnes de la voiture accidentée qu’ils n’arrivent pas à repartir à cause de la fameuse « petite bitte ». On vous laisse imaginer la suite...
Tout juste nommé, un juge démissionne… par erreur

L'article 16, section 65 de la Constitution du Texas, prévoit que lorsqu'un juge du comté annonce son intention de se présenter à un autre poste que celui qu'il occupe actuellement, cela « constitue une démission d'office ».
« J'ai merdé », a dit McLeod au Washington Post. Le désormais ex-juge a expliqué qu'il ne connaissait pas la disposition de la Constitution du Texas, qu'il a décrite comme « un document archaïque de 180 pages ».
Dans la tourmente pour une histoire de chaussures marrons

L'objectif était d'aider ceux qui ne connaissent pas les « règles du code vestimentaire tacite » concernant les costumes bleus et les chaussures brunes en vigueur dans le quartier des affaires de Londres. Cette règle porte même un nom : « no brown in town ».
Plus que le conseil, c'est la tradition et les préjugés qui sont pointés du doigt. « C'est au code vestimentaire de changer, pas aux candidats », explique l'article.