Un futur avocat xénophobe et misogyne?

Il cherche un stage à Québec...
Il a ses chances!

Une future ligne éditoriale de Droit-inc exempte de lynchage médiatique ?
La page couverture du numéro 367 de Charlie Hebdo - 24 novembre 1977 - (oui oui, comme dans "Je suis Charlie") titrait "Un bicot lèche le cul d'un youpin", l'image au dessous illustrait exctement cela, et dans leur bulle de texte respective le premier disait "Alors, on fait la paix?", ce à quoi le second répond "Continue, on verra après!".

La France de 1977 n'était pas particulièrement un enfer pour les communautées ethniques (loin de là!), mais cette couverture qui ne verrait sans doute pas le jour aujourd'hui donne une idée de l'emprise qu'ont acquises les officines communautaires sur le discours médiatique, et le discours dans l'espace public, en général.

Droit-inc sera-t-il véritablement Charlie, comme le Charlie d'autrefois, ou comme le nouveau Charlie, qui est l'accompagnateur idéologique des censeurs et des lyncheurs 2.0?

Honte!
Il ne devrait pas être admis à l'École du Barreau et de devrait jamais être inscrit au tableau de l'ordre. Cet homme est une honte pour la profession!

Oh !
J'ai jamais lu un discours aussi réactionnaire.

Aucun bureau sérieux ne va engager ce type

Québec contre les violences sexuelles
Je salue le courage de l'autrice de ce texte, Florence Tison, d'avoir eu le courage de dénoncer.

Turds
Je lis vos commentaires et vous êtes tous une bande des d'étrons. Que faites-vous de la liberté d'expression. Exprimez votre désaccord à l'égard de ses propos mais ne vous en prenez pas à sa personne. C'est vous qui êtes indignes d'être membres de votre ordre professionnel.

Pitié pour mes yeux
Franchement, juste avec les phôtes d'orthographe...

Quérulent
Je n'ose croire qu'un cabinet de Québec lui offrira un stage.

Si cet individu était un citoyen qui entreprenait des procédures judiaires, je le qualifierais sur-le-champ de quérulent, avant même qu'il en ait déposée une.

La quérulence est, en psychiatrie, un délire de revendication...

Quoi dire d'autre si ce n'est qu'il fait honte à la profession et au Québec tout entier.

À ce stade, selon moi, c'est une maladie. Cela fait peur. Cette histoire ne connaîtra pas une fin heureuse, j'en suis persuadée. Quelle tristesse.

Problèmes de santé mentale?
Je fais l'hypothèse sans aucun sarcasme. Mais peut-être que ce M. a des problèmes de santé mentale qui émergent à son insu? Je lis ses propos postés sur LinkedIn (pur suicide professionnel) et je ne peux m'empêcher de penser: "Amanda Bynes". Peut-être que le refus de répondre aux questions de Droit-Inc découle de cette prise de conscience... Attendons d'en savoir plus avant de le clouer au pilori!

Liberté d'expression
Amusant toutes les réactions d'outrés. Plutôt que menacer ou insulter, répondez donc à ses arguments. Sauf que ça va être difficile car il a des bons aruments.

1. Le gars est vraiment courageux pour aller contre le discours officiel. D'ailleurs on peut en juger par les réactions.
2. C'est encore plus surprenant qu'il ose tenir ce genre de discours publiquement et officiellementcar n'étant même pas encore avocat. Honnêtement, ça doit être un canular, j'ai de la difficulté à y croire;
3. 'Xénophobe et misogyne' LOL ou comment diaboliser ceux avec qui on n'est pas d'accord. Ce n'est pas "xénophobe" de critiquer la discrimination dite positive. Ce n'est pas mysogine de critiquer #metoo, surtout avec toutes ses dérives.

Heureusement, on n'est pas en Ontario ou ils ont décidé qu'aller contre l'idéologie multiculturaliste ou la pensée unique était un crime de lèse majesté. Ses opinions personnelles n'ont rien à voir avec le fait d'être avocat.