Le super avocat techno Dominic Jaar s'interroge dans sa chronique d'aujourd'hui sur l'utilisation de PowerPoint dans une salle de tribunal et apporte quelques éléments de réponses...

En réaction aux billets relatifs aux non-embauches de divers cabinets et peut-être plus encore au déluge de commentaires (même en pleine période de vacances!), j’ai commencé à écrire un commentaire qui s’est terminé en billet...

En marge des coûteux sommets G8 - G20, Dominique Jaar dénonce dans une chronique au vitriol le flicage vidéo croissant des citoyens.

La cour supérieure a récemment rendu une décision, dont on espère appel, dans l’ affaire Stadacona où elle a maintenu l’objection de la défenderesse à produire l’original électronique d’un document.

La Commission Bastarache n'a pas encore débuté que j'en ai déjà plein le pompon de ces histoires de nomination de juges.

Le 10 février 2010, la Cour du Québec, sous la plume de la juge Lina Bond, a rendu jugement dans l’affaire Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada c. Compagnie d'arrimage de Québec ltée, 2010 QCCQ 942.

La nouvelle à l’effet qu’un employé d’Ogilvy Renault était sous enquête auprès de l’AMF n’a fait que confirmer qu’une nouvelle génération d’initiés a vu le jour au cours des dernières années.

Voici le titre d’un livre dont j’ai rêvé à une époque où les cours de l’école de la vie se donnaient au café étudiant.

Malgré l’adoption généralisée des technologies de l’information, force est de constater qu’après maintenant plus d’une décennie, le papier règne toujours en maître (lire : en mètres)!

Bien que loin de mon sujet de prédilection, la question de la grippe, connue comme porcine il y a quelques mois, m’a inspiré ce billet sur nos droits et obligations de citoyens.

Vous connaissez déjà tous ma loi fétiche et la ferveur que je déploie à en suivre cas par cas la citation.

On pourrait croire que les Romains avaient anticipé la venue d’Internet et de son web lorsqu’ils ont écrit : « ''Litera scripta manet, verbum ut inane perit''. »

Je crois rêver ! Le mois de juin 2009 aura été un mois record pour la citation de ma loi fétiche, la Loi concernant le cadre juridique des technologies de l’information (« LCCJTI »).

D’un monde physique où informations et argent se transigeaient sur papier, nous sommes passés en quelques années dans un univers chaque jour plus virtuel.

C’est la conclusion que l’on tire à la lecture d’une décision à laquelle en est arrivée la Commission des standards judiciaires de la Caroline du Nord.