Une avocate devenue vampire

L’amusante analogie entre avocats et vampires est connue. Sur n’importe quel moteur de recherche, tapez "avocat + vampire" et vous obtiendrez la (bonne) blague suivante :

"Quelle est la différence entre un avocat et un vampire ?
- L'un est un être vil, sans âme, suceur de sang, et l'autre peut se transformer en chauve-souris!"

Certains d’entre vous se trouveront peut-être quelques points communs avec Lestat, Dracula et consorts sans toutefois se prendre littéralement pour l’un d’entre eux.

Me Maria Jose Cristerna, avocate mexicaine, si.

Originaire de Guadalajara, celle que l’on surnomme aujourd’hui ''la Femme Vampire'', a quitté les cabinets d’avocats pour les boutiques de tatouages, rapporte Above the Law.

A 35 ans, 98% de son corps est désormais recouvert de dessins, piercings et autres bouts de métal incrustés sous sa peau.

Entretien avec un vampire

Un marketing personnel pour le moins paroxystique ! Futée (elle fait parler d’elle) ou carrément inconsciente (quel cabinet voudra l’embaucher...) ? On ne saurait dire.

Si elle évoque des violences conjugales et, par-dessus tout, un amour fou pour la modification corporelle, on peut se demander ce qui a poussé cette avocate comme les autres, à vouloir se transformer en œuvre d’art sur pattes.

Marre du petit monde consensuel juridique ? Envie de faire peur aux clients indélicats ?

Quoiqu’il en soit, on espère pour elle qu’elle possède son propre cabinet d’affaires ! Carmilla LLP peut-être ?